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 - rangs: celle de l'automobile.
  A la verite, l'intelligence est plus necessaire que jamais', mais elle se
 concentre, non plus dans les operations mecanisees de l'execution, mais
 dans la fabrication de l'outillage, dans sa mise en ?uvre, dans l'organisation
 du controle et d'une facon generale dans tout ce qui releve de l'organisation
 de l'entreprise. La encore une evolution d'immense portee est en cours: a lu
 periode artisanale de la production a succede, au XVIIIe siecle, une periode
 proprement mecanique; nous entrons maintenant dans une periode
 nouvelle, qui n'est peut-etre qu'une section de la precedente et qu'on
 pourrait appeler l'age administratif. Le role du technicien demeure toujours
 aussi essentiel, mais des l'instant que tout se fait par plan, c'est sous la
 200
 
 forme superieure de l'organisation que les progres techniques se realisent.
 Il n'y a plus desormais d'industries vraiment efficaces que celles qui sont
 fortement, scientifiquement organisees.
 Comment, de ce point de vue, la France est-elle placee pour reussir?
  S'agissant2 de concevoir des plans, des plans conformes a la raison
 (le systeme n'est-il pas qualifie de "rationalisation")?, je ne vois dans
 l'esprit francais que des conditions de superiorite: la discipline classique,
 qui nous habitue au sens des proportions, qui soumet les fantaisies de
 l'intelligence a la regle proprement morale d'une methode de pensee, doit
 nous rendre capables de mettre sur pied des plans hardis et realisables.
 Ajoutons le gout de "la bonne ouvrage", ce qui veut dire travail bien fait,
 comportant le souci du "fini": il devrait en resulter une superiorite dans les
 fabrications difficiles, demandant du soin, de l'elegance, de la perfection.
 L'Americain est incomparable dans les inventions qui tendent a economiser
 la main-d'?uvre. Dans l'invention tout court, l'experience des dernieres
 annees prouve que l'Europe ne demeure nullement en arriere.
  Sans doute est-il de notoriete publique que la productivite3 americaine
 est superieure a la notre, mais pourquoi? Ce n'est pas affaire de superiorite
 individuelle chez l'ouvrier d'outre-Atlantique, mais il beneficie d'un
 outillage plus developpe, d'une organisation portant sur des masses plus
 importantes. Nous pouvons retrouver l'avantage dans les qualites person-
 nelles du travailleur (...). Le Francais a besoin de se distinguer, de
 manifester sa presence par une collaboration personnelle et, si possible,
 reconnue comme telle. Il a, au plus haut degre, le sens du point d'honneur,
 il souhaiterait signer son ouvrage: en faisant appel a de pareils sentiments
 de sa part, on obtient tout de lui. Il y a la une precieuse indication. Quand il
 se sent fier d'appartenir a une famille industrielle de production, quand il
 entend montrer ce que cette famille industrielle est capable de faire, il n'est
 pas de but, si haut place soit-il, qu'il ne soit en mesure d'atteindre. Ainsi,
 une fois encore, la personnalite reparait, inseparable de tout probleme
 francais*.
 ANDRE SIEGFRIED. L'Automobile en France (1954).
 Примечания:
  1. В промышленности XX века. 2. Participe absolu: 57/ s'agit... Puisqu'il s'agit...
 3. Производительность.
 Вопросы:
 * Montrez qu'aux yeux d'Andre Siegfried la nouvelle France rejoint ici l'ancienne.
 201
 
 la table, la soupe et le boeuf4, la maison et le jardin, la porte et la rue, la
 cour et le pas de porte, et les assiettes sur la table*.
 CHARLES PEGUY. L'Argent (1913)
 Примечания:
  1. Oux rage est un nom masculin, mais la langue populaire en fait un feminin 2 При-
 мат: главный, основополагающий принцип. В начале XX в это слово было еще не-
 обычным в разговорном языке 3 Намек на так называемый petit lever т е малым
 утренний прием короля, который по дворцовом> этикет) начинался после того, как
 король проснется и прочитает утреннюю молитв\. На него доплакались приближен-
 ные короля. Большой утренний прием начинался после гого, как короля побреют и
 причеигут. В нем имели право участвовать все представленные ко двору. 4. Армейское
 выражение (и Пеги не пренебрегает им), часть соленой солдатской шутки. Пеги не
 гнушался использовать в своем творчестве образчики народного остроумия и даже
 каламбуры.
 Вопросы:
  *N'y a-t-il pas dans ce texte une idealisation excessive du passe? Comment peut-elle
 s'expliquer?
 L'INDUSTRIE FRANCAISE
 AU XXe SIECLE
 Le inonde moderne ouvre une belle carriere, dans le domaine industriel, au\
 qualites proprement francaises. C'est ce que nous montre ANDRE SIEGFRIED,
 a propos d'une industrie ou la France a toujours brille' dans les -premiers
 rangs: celle de l'automobile.
  A la verite, l'intelligence est plus necessaire que jamais , mais elle se
 concentre, non plus dans les operations mecanisees de l'execution, mais
 dans la fabrication de l'outillage, dans sa mise en ?uvre, dans l'organisation
 du controle et d'une facon generale dans tout ce qui releve de l'organisation
 de l'entreprise. La encore une evolution d'immense portee est en cours: a la
 periode artisanale de la production a succede, au XVIIe siecle, une periode
 proprement mecanique; nous entrons maintenant dans une periode
 nouvelle, qui n'est peut-etre qu'une section de la precedente et qu'on
 pourrait appeler l'age administratif. Le role du technicien demeure toujours
 aussi essentiel, mais des l'instant que tout se fait par plan, c'est sous la
 200
 
 forme superieure de l'organisation que les progres techniques se realisent.
 Il n'y a plus desormais d'industries vraiment efficaces que celles qui sont
 fortement, scientifiquement organisees.
 Comment, de ce point de vue, la France est-elle placee pour reussir?
  S'agissant" de concevoir des plans, des plans conformes a la raison
 (le systeme n'est-il pas qualifie de "rationalisation")?, je ne vois dans
 l'esprit francais que des conditions de superiorite: la discipline classique,
 qui nous habitue au sens des proportions, qui soumet les fantaisies de
 l'intelligence a la regle proprement morale d'une methode de pensee, doit
 nous rendre capables de mettre sur pied des plans hardis et realisables.
 Ajoutons le gout de "la bonne ouvrage", ce qui veut dire travail bien fait,
 comportant le souci du "fini": il devrait en resulter une superiorite dans les
 fabrications difficiles, demandant du soin, de l'elegance, de la perfection.
 L'Americain est incomparable dans les inventions qui tendent a economiser
 la main-d'?uvre. Dans l'invention tout court, l'experience des dernieres
 annees prouve que l'Europe ne demeure nullement en arriere.
  Sans doute est-il de notoriete publique que la productivite1 americaine
 est superieure a la notre, mais pourquoi? Ce n'est pas affaire de superiorite
 individuelle chez l'ouvrier d'outre-Atlantique, mais il beneficie d'un
 outillage plus developpe, d'une organisation portant sur des masses plus
 importantes. Nous pouvons retrouver l'avantage dans les qualites person-
 nelles du travailleur (...). Le Francais a besoin de se distinguer, de
 manifester sa presence par une collaboration personnelle et, si possible,
 reconnue comme telle. Il a, au plus haut degre, le sens du point d'honneur,
 il souhaiterait signer son ouvrage: en faisant appel a de pareils sentiments
 de sa part, on obtient tout de lui. Il y a la une precieuse indication. Quand il
 se sent fier d'appartenir a une famille industrielle de production, quand il
 entend montrer ce que cette famille industrielle est capable de faire, il n'est
 pas de but, si haut place soit-il, qu'il ne soit en mesure d'atteindre. Ainsi,
 une fois encore, la personnalite reparait, inseparable de tout probleme
 francais*.
 ANDRE SIEGFRIED. L'Automobile en France (1954).
 Примечания:
  1 В промышленности XX века. 2. Participe absolu: 57/ s'agit... Puisqu'il s'agit...
 3. Производительность.
 Вопросы:
 * Montrez qu'aux yeux d'Andre Siegfried la nouvelle France rejoint ici l'ancienne.
 201
 
 LE SERRURIER
 LE Francais est personnel individualiste: on l'a mille fois reconnu. Il est donc
 normal qu'il se soit plu a l'artisanat, c'est-a-dire a un travail qui ne reclame
 aucune aide etrangere, ou l'ouvrier confectionne tout seul le sabot, le fer
 a cheval, le vetement qu'on lui a commande.
 En verite, l'artisanat attache profondement l'homme a son metier: il est tout
 pres de lui donner les memes satisfactions qu'a l'artiste. C'est ce que GEORGES
 DUHAMEL a bien compris, lorsqu'il a magnifie son Chalifour, qui est beaucoup
 plus qu'un simple ouvrier: un demiurge, un cy'dope. un createur...
  Chalifour etait serrurier. Je l'ai connu dans mon enfance. C'etait, disait-
 on, un humble artisan de province. Pourquoi laisse-t-il dans ma memoire le
 souvenir d'un homme riche et puissant? Son image demeure a jamais, pour
 moi, celle du "maitre des metaux" (...)
  Que j'aimais a le voir, avec son petit tablier de cuir noirci! Il saisissait
 une barre de fer et ce fer devenait aussitot sa chose. Il avait une facon a lui.
 pleine d'amour et d'autorite, de manipuler l'objet de son travail. Ses mains
 immenses touchaient tout avec un melange de respect et d'audace; je les
 admirais comme les sombres ouvrieres d'une puissance souveraine. Entre
 Chalifour et le dur metal, il semblait qu'un pacte eut ete conclu, donnant
 a l'homme toute domination sur la matiere. On pouvait croire que des
 serments avaient ete echanges.
  Je le revois activant d'un air pensif le soufflet secoue de sanglots et
 surveillant le metal dont l'incandescence etait comme transparente. Je le
 revois a l'enclume: le marteau, manie avec force et delicatesse, obeissait
 comme un demon soumis. Je le revois devant la machine a percer, lancant
 le grand volant selon les exigences mesurees d'un rite. Je le revois surtout,
 devant la .verriere fumeuse et inondee de clarte bleme, considerant, avec
 un fin sourire barbu de blanc1, la piece de metal domptee, chargee d'une
 mission et qui paraissait sa creature.
  О vieil ouvrier, o grand homme simple, comme tu etais riche et
 enviable, toi qui n'aspirais qu'a une chose: bien faire ce que tu faisais
 posseder intimement l'objet de ton labeur. Nul mieux que toi n'a connu le
 fer lourd et obeissant; nul ne l'a, mieux que toi, pratique avec amour et
 constance*.
 GEORGES DUHAMEL. La Possession du Monde (1919)
 Примечания:
 1. У Шалифура была седая борода.
 202
 
 Вопросы:
  * Relevez les mots et expressions servant: 1) a depeindre l'artisan au travail; 2) a le
 presenter comme un personnage dont le pouvoir a quelque chose de surnaturel.
 DU BEAU BLE
 rendant longtemps, la France fut un pays essentiellement agricole: donc une
 nation de paysans. Et aujourd'hui encore, le nombre des Francais travaillant
 a la terre reste considerable (37 pour 100 environ).
 On trouvera, dans le texte ci-dessous, un bel exemple de l'attachement de la
 race paysanne a ce ble, qui, pendant tant de siecles, a nourri tant de
 generations de Francais.
 C'est bien six sacs qu'il y en a. On les voit d'ici. M. Astruc1 les a deja
 comptes. Il a vu qu'il y a deja du monde qui regarde le ble. Il a deja vu qu'il
 n'y a pas encore les autres courtiers.
 "Laissez passer, laissez passer."
 Son premier regard est pour le ble. Il en a tout de suite plein les yeux.
 "Ca, alors!"
  C'est lourd comme duplomb a fusil. C'est sain et dore, et propre comme
 on ne fait plus propre; pas une ballet Rien que du grain: sec, solide, net
 comme de l'eau du ruisseau. Il veut le toucher pour le sentir couler entre
 ses doigts. C'est pas2 une chose qu'on voit tous les jours.
 "Touchez pas3", dit l'homme.
 M. Astruc le regarde.
  "Touchez pas. Si c'est pour acheter, ca va bien. Mais si c'est pour
 regarder, regardez avec les yeux."
  C'est pour acheter, mais il ne touche pas. Il comprend. Il serait comme
 Ca, lui.
 "Ou tu as eu ca? - A Aubignane4."
  M. Astruc se penche encore sur la belle graine. On la voit qui gonfle la
 toile des sacs. On la voit sans paille et sans poussiere. Il ne dit rien, et
 Personne ne dit rien, meme pas celui qui est derriere les sacs et qui vend. Il
 n'y a rien a dire C'est du beau ble et tout le monde le sait*.
 "C'est pas battu a la machine?
 - C'est battu avec ca", dit l'homme.
  Il montre ses grandes mains qui sont blessees par le fleau5 et, comme il
 les ouvre, ca fait craquer les croutes6 et ca saigne. A cote de l'homme,
 203
 
 il y a une petite femme jeune et pas mal jolie, et toute cuite de soleil
 comme une brique. Et elle regarde l'homme de bas en haut, toute contente.
 Elle lui dit:
 "Ferme ta main, ca saigne." Et il ferme sa main.
 "Alors?
 - Alors, je te le prends. C'est tout la?
 - Oui. J'en ai encore quatre sacs, mais c'est pour moi.
 - Qu'est-ce que tu veux en faire?
 - Du pain, pardi.
 - Donne-les, je te les prends aussi.
 - Non, je vous l'ai dit, je les garde.
 - Je t'en donne cent dix francs .
 - C'est pas plus?" demande un homme qui est la.
  Celui de derriere les sacs a regarde la petite femme. Et il a fait un
 sourire avec ses yeux et ses levres, et puis il a tourne sa ugure vers
 M. Astruc, sans le sourire, toute pareille a celle qu'il avait tout a l'heure
 quand il a dit: "Touchez pas."
  "Je sais pas si c'est plus ou si c'est moins, mais, moi, j'en veux cent
 trente."
 Le regard de M. Astruc s'est abaisse sur le ble. Puis il a dit:
 "Bon, je le prends. "
  Et, il ne l'a pas dit, il l'a gueule8, parce que l'orgue des clievaux de bois
 avait commence de grogner: " Mais, les dix sacs, il a encore gueule.
  - Non, a crie l'homme. Ces six, et pas plus; les autres, je les garde, je
 te l'ai dit. Ma femme aime le bon pain**."
 JEAN GIONO. Regain (1930)
 Примечания:
  1. Один из маклеров (посредников), скупавших у крестьян хлеб. Маклеры дейст -
 вовали по поручению крупных хлеботорговцев и мукомолов. 2. Мякина, полова
 3. Langage parle populaire: suppression de ne. 4 Деревня в горной части Прованса
 5. Цеп для обмолота зерна. 6. Здесь: струны, подсохшие корочки на ранах. 7. Действие
 происходит перед Второй мировой войной. 8 Tres familier pour crier 9. Рядом с хлеб-
 ной ярмаркой устраивались балаганы и проходило народное гуляние
 Вопросы:
  * Comment s'exprime, dans tout ce passage, le respect des personnages et de l'auteur
 pour le ble?
 ** Etudiez le dialogue. Montrez ce qu'il a de specifiquement paysan.
 204
 
 UN FONCTIONNAIRE PEU ZELE
 (VERS 1890)
 Les services publics occupent, en France, environ deux millions de personnes.
 C'est assez dire la place des fonctionnaires dans la nation.
 La satire que GEORGES COURTELINE a pu faire des employes de ministere dans
 son fameux roman Messieurs les Ronds-de-Cuir, pour etre actuellement un peu
 demodee, n'en reste pas moins comme un document d'une saveur difficilement
 oubliable...
  Plus vaste qu'une halle et plus haut qu'une nef, le cabinet de M. de la
 Hourmerie recevait, par trois croisees, le jour, douteux pourtant, de la cour
 interieure qu'emprisonnaient les quatre ailes de la Direction1. Derriere un
 revetement de cartons verts, aux coins uses, aux ventres solennels et ronds
 des notaires aises de province, les murs disparaissaient des plinthes aux
 cormches", et l'onctueux tapis qui couvrait le parquet d'un lit de mousse ras
 tondu, le bucher qui flambait clair en la cheminee, l'ample chanceliere3 ou
 plongeaient, accotes, les pieds de M. de la Hourmerie, trahissaient les
 gouts de bien-etre, toute la douilletterie frileuse du personnage. Lahrier
 s'etait avance.
  "Je vous demande pardon, monsieur, dit-il avec une deference
 souriante'; il y a deux heures que je suis ici et cet imbecile d'Ovide4 songe
 seulement a m'avertir que vous m'avez fait demander".
  Couche en avant sur sa' table, consultant une demande d'avis qu'il
 ecrasait de sa myopie, M. de la Hourmerie prit son temps. A la fin, mais
 sans que pour cela il s'interrompit dans sa tache:
 "Vous n'etes pas venu hier? dit-il negligemment.
 - Non, monsieur, repondit Lahrier.
 - Et pourquoi n'etes-vous pas venu?"
 L'autre n'hesita pas:
 "J'ai perdu mon beau-frere."
 Le chef, du coup, leva le nez:
 "Encore!.."
  Et l'employe, la main sur le sein gauche, protestant bruyamment de sa
 sincerite:
  "Non, pardon, voulez-vous me permettre?" s'exclama M. de la
 Hourmerie. Rageur, il avait depose pres de lui la plume d'oie5 qui tout
 a l'heure lui barrait les dents comme un mors. Il y eut un moment de
 silence, la brusque accalmie, grosse d'angoisse, preludant a l'exercice
 Perilleux d'un gymnaste.
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 Tout a coup:
  "Alors, monsieur, c'est une affaire entendue? un parti pris de ne plus
 mettre les pieds ici? A cette heure vous avez perdu votre beau-frere,
 comme deja, il y a huit jours, vous aviez perdu votre tante, comme vous
 aviez perdu votre oncle le mois dernier, votre pere a la Trinite, votre mere
 a Paques!., sans prejudice, naturellement, de tous les cousins, cousines, et
 autres parents eloignes que vous n'avez cesse de mettre en terre a raison
 d'un au moins la semaine! Quel massacre! non, mais quel massacre! A-t-on
 idee d'une famille pareille?.. Et je ne parle ici, notez bien, ni de la petite
 s?ur qui se marie deux fois l'an, ni de la grande qui accouche tous les trois
 mois! Eh bien, monsieur, en voila assez; que vous vous moquiez du monde,
 soit! mais il y a des limites a tout, et si vous supposez que l'administration
 vous donne deux mille quatre cents francs6 pour que vous passiez votre vie
 a enterrer les uns, a marier les autres ou a tenir sur les fonts baptismaux,
 vous vous meprenez, j'ose le dire."
  II s'echauffait. Sur un mouvement de Lahrier il ebranla la table d'un
 furieux coup de poing:
  "Sacredie7 monsieur, oui ou non, voulez-vous me permettre de placer
 un mot?"

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