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"Ainsi, toutes ces montagnes, le puy de Sancy, le puy de Dome, sontdes volcans? Cela m'interesse; est-ce que j'assisterai bientot a une
eruption? - Vous arrivez un peu tard! Voila bien des siecles que ces
volcans sont eteints. Vous n'avez guere de chances (f.)1 de voir des
flammes et de la fumee s'elever de leurs sommets (m.); au contraire,
vous trouverez au fond de leurs crateres (m.) des lacs circulaires, aux
eaux claires et fraiches. - Mais n'y a-t-il pas au moins des tremble-
ments (m,) de terre, comme cela se produit souvent dans d'autres
regions volcaniques du globe terrestre? - Non, nous sommes
heureusement a l'abri de ces catastrophes (f.) et vous ne serez jamais
reveille par des secousses (f.)2 desagreables. Mais l'origine (f.)
volcanique de nos montagnes explique la fertilite de notre sol: la lave,
jadis repandue sur les flancs (m.)3 de la montagne jusque dans la plaine,
s'est transformee en une terre riche qui donne une herbe tres
nourrissante; voila pourquoi nos vaches sont si grasses et donnent tant
de lait. Et nos sources (f.) thermales, qui sortent toutes chaudes du sol,
nous rappellent aussi que le centre de notre globe est toujours4 en feu".
Примечания:
1. Вам не удастся... . - Mais: J'ai gagne le gros lot a la loterie: j'ai eu de la chance.
2. Толчков, сотрясений. La secousse: verbe secouer.
3. По склонам. On dit aussi: les flancs de l'animal (mais: j'ai mal au cote droit).
4. "Toujours" a ici le sens frequent de: encore maintenant.
УПРАЖНЕНИЯ
I) Для каждого из перечисленных слов подберите однокоренное слово.
Составьте предложения с найденными словами: montagne (f.); volcan (т.); frais,
fraiche; arriver; tremblement (т.); chaud, chaude.
II) Найдите в тексте количественные наречия.
III) (а) Дополните предложения наречиями: beaucoup, beaucoup de или tres:
Je travaille. - J'ai travaille. - J'ai du travail. - Je suis tr... occupe a travailler. - Je
travaille souvent. - J'ai b... admire ce volcan. - Ce volcan est ancien. - J'ai vu
des volcans. - Les volcans sont tr... interessants. - Les volcans m'interessent. - Je
suis tr... interesse par les volcans. - Les volcans ont de l'interet a mes yeux. (Les
adverbes doivent se rapporter aux mots en caracteres droits). - (б) Поставьте
получившиеся предложения в отрицательную форму.
IV) (а) Дополните предложения наречиями: assez или assez de: II fait chaud. -
Nous avons de la pluie. - Le temps est pluvieux. - Je travaille. - J'ai travaille. -
J'ai du travail. - Je suis occupe. - // y a de la neige sur les montagnes. - On voit des
nuages dans le ciel. - // est tombe des averses. - (б) Поставьте получившиеся
предложения в отрицательную форму.
V) (а) Перепишите предложения из упр. IV, дополнив их наречием trop или
trop de: (б) Поставьте получившиеся предложения в отрицательную форму.
Выполните аналогичное задание с bien, bien du, bien de la, bien des.
VI) (a) Дополните следующие предложения наречиями autant, autant de или
aussi, добавляя в конце каждого предложения: qu'hier: // pleut. - La pluie est
forte - II y a de la pluie. - Nous sommes mouilles (participe a valeur d'adjectif). -
Nous avons couru. - Nous courons. - Nous courons vite. - Nous sommes
fatigues. - Tu parles. - Tu parles lentement. - Tu es bavard. - Tu poses des
questions.
(б) Поставьте получившиеся предложения в отрицательную форму.
VII) Перепишите предложения из упр. VI, дополнив их наречиями tant или
tant de или si; опустите сравнение qu'hier. В конце каждого предложения
поставьте восклицательный знак.
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ТЕКСТЫ ДЛЯ ЧТЕНИЯ: УРОКИ 42 - 46
IL Y A CINQUANTE ANS...
(Le docteur Pasquier vient d'acheter sa premiere automobile: il va
faire une promenade avec son fils et un ami de celui-ci.)
Nous ouvrimes la remise. On y voyait une mecanique' extraordinaire
que nous considerames aussitot avec respect et curiosite. La derniere
fantaisie, la derniere folie de mon pere.
"Jeunes gens, aidez-moi", dit-il, en otant sa jaquette.
Tiree, poussee, la voiture "sans chevaux" vint au grand jour (...).
"Ne vous installez pas tout de suite, fit mon pere:
II faut soigner la mecanique".
Il prit une burette, une loque, un bidon de benzine et commenca de
tourner autour de la voiture en nous donnant maintes explications.
"C'est une voiture a petrole, disait-il, avec un moteur Daimler, le vrai
moteur du progres. Ce n'est pas le tout dernier modele, sans doute. On
fait, aujourd'hui, des voitures plus elegantes. Je ne m'y fierais pas: la
mecanique est sacrifiee au luxe. Avant tout, la securite. Tenez, regardez,
jeunes gens, comment se fait la mise en marche. Simplicite parfaite: je
devisse le robinet, je tourne le commutateur, et, maintenant, j'empoigne
le volant de depart".
Il avait ouvert la cage du moteur. On apercevait confusement toute
une triperie metallique et, surtout, un lourd volant de fonte place dans le
sens des roues et que mon pere saisit a pleine main. Il retint son haleine
et fit un geste energique pour imprimer au volant un mouvement de
rotation. La machine renifla longuement, eternua, puis lacha quelque
chose comme un aboiement.
"N'ayez pas peur, dit mon pere, ce genre de moteur s'appelle, en
propres termes, moteur a explosion. S'il pete, c'est qu'il va marcher.
-Oh! declarames-nous dignement, nous n'avons pas du tout peur.
C'est meme assez interessant".
Une dizaine de fois, mon pere lanca le volant sans resultat. Le
moteur toussait, ralait, renaclait2 sans se decider. Et, soudain, il partit:
"Тар, tap, tap" et la voiture se mit a trembler tout entiere, avec un bruit
de fusillade. Mon pere, toujours souriant, remettait sa jaquette, son
haut-de-forme, ses gants jaunes. Il dit:
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"Laurent, tu monteras derriere. On va placer le coussin. Ton ami se
mettra pres de moi (...)."
Mon pere, bien droit, la main gauche sur la hanche, semblait
parfaitement maitre de cette force tempetueuse. Comme nous arrivions
sur la place de l'eglise, il souleva son couvre-chef et salua plusieurs
personnes d'une facon fort elegante.
"Je ne suis pas vindicatif", dit-il - et cela nous fit sourire, car il
etait passablement vindicatif - "mais je voudrais rencontrer cet
imbecile de Blottier pour lui montrer, confraternellement3, qu'au point
de vue des idees, je suis plus jeune que lui".
A cet instant precis, et sans aucune raison sensible, comme un cheval
qui prend peur a la vue d'une brouette, notre voiture fit un ecart a droite
et monta sur le trottoir. Elle y roula quelques metres et vint donner du
museau dans la boutique du pharmacien.
"Ma manette de direction est un peu trop delicate, fit mon pere, mais
ca n'a pas d'importance, car je voulais, justement, passer chez le
pharmacien. Tirez la voiture avec soin, mes garcons, et replacez-la sur
la chaussee".
Nous fimes de notre mieux pour executer cet ordre. Une petite foule
de badauds s'etait rassemblee pendant ce temps et quand mon pere, de
retour, remit la machine en route, nous dumes prier les curieux de nous
livrer passage.
La course reprit. Il faisait une douce et molle matinee d'automne. De
grands nuages semblaient chercher dans la campagne le point
convenable pour lacher une averse indolente. Mon pere dit:
"S'il pleut, Justin, tu ouvriras le parapluie qui est dans l'etui d'osier,
a ta gauche".
A ce moment, la pluie tomba. Justin, deployant le parapluie, se mit
en mesure de proteger mon pere et le chapeau de soie de mon pere.
Nous avions quitte les maisons. Une grande plaine fraichement labouree
se montrait sur notre droite (...). Le sol devalait vers un hameau dont on
apercevait les maisons et les vergers. La voiture avancait en egrenant un
joli chapelet de detonations qui s'amortissaient dans l'etendue. Parfois,
quelque detonation manquait a l'appel4 ou bien faisait long feu5. Mon
pere souriait avec un sang-froid que, dans le fond de mon c?ur, je
jugeais remarquable. Il disait:
"Cette voiture peut faire dix-huit et meme vingt ou vingt-deux
kilometres a l'heure. Mais je ne la connais pas encore assez pour lui
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demander le maximum. Ah! le pave est mouille. Moteur admirable, je
vous l'ai dit. Le frein, malheureusement, ne m'inspire pas la meme
confiance".
Nous venions de nous engager dans la partie la plus declive6 de la
cote. La voiture sentait la pente et bondissait de bosse en trou. Mon pere
saisit le frein dans sa main droite et murmura:
"II serait preferable de ne pas prendre le mors aux dents".
Nous avions cesse toute conversation, tels des experimentateurs au
moment critique de l'epreuve. De toutes mes forces, je m'agrippais aux
poignees (...). Mon pere murmura, d'une voix calme:
"Nous depassons peut-etre le vingt-quatre ou le vingt-cinq a l'heure.
Sentez-vous le vent de la course?"
Puis il ne dit plus rien et je pense que nous fumes tous saisis d'une
legere angoisse. Nous arrivions au tournant de la route. Devant nous se
presentaient un petit fosse, un talus modeste, quelques pieds carres de
chaume, enfin le mur d'une propriete derriere lequel jaunissaient des
touffes d'acacia.
J'entrevis tout cela dans une sorte d'illumination. Mon pere
prononca, la voix blanche: "Je tourne la manette a droite, puisqu'il faut
aller a gauche". J'entendis cette phrase raisonnable, froidement meca-
nique et, soudain, la voiture, au lieu de virer vers la gauche, se dirigea
vers la droite, piqua dans le petit fosse, monta sur le talus, s'allegea,
d'un coup de rein, de ses trois passagers et fonca vers la muraille.
Malgre la brutalite du choc, nous nous relevames tous trois aussitot.
Je vis mon pere courir apres son haut de forme, le ramasser, en lisser le
poil d'un geste du coude et se tourner vers nous, souriant.
"C'est, dit-il, le phenomene du derapage".
G. DUHAMEL, de l'Academie francaise, Vue de la Terre Promise
Примечания'
1. La mecanique d'un moteur, ce sont les engrenages, les ressorts, les tiges qui
composent ce moteur et le font marcher.
2. L'homme enrhume tousse; le mourant rale; une personne en colere renacle en
aspirant fortement l'air par le nez.
3. Как коллега, по-товарищески: Блоттье тоже врач.
4. Отсутствовал на поверке (из армейской фразеологии).
5. Давал осечку. Dans un autre sens, on dit: il est malade, il ne fera pas long feu:
он болен и долго не протянет.
6. Самую пологую, самую покатую.
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UN CONDAMNE ENCOMBRANT
(A Monaco, un mari a tue sa femme. Il est condamne a mort. Mais
les instruments pour l'execution manquent a Monaco.)
On delibera1 longtemps sans decouvrir aucun moyen pratique.
Enfin le premier president proposa de commuer2 la peine de mort en
celle de prison perpetuelle, et la mesure3 fut adoptee. Mais on ne
possedait pas de prison. Il fallut en installer une, et un geolier fut
nomme, qui prit livraison du prisonnier.
Pendant six mois tout alla bien. Le captif dormait tout le jour sur une
paillasse dans son reduit, et le gardien en faisait autant sur une chaise,
devant la porte, en regardant passer les voyageurs. Mais le prince est
econome, c'est la son moindre defaut, et il se fait rendre compte des plus
petites depenses accomplies dans son Etat (la liste n'en est pas longue).
On lui remit donc la note des frais relatifs (...) a l'entretien de la prison,
du prisonnier et du veilleur. Le traitement de ce dernier grevait
lourdement le budget du souverain. Il fit d'abord la grimace; mais,
quand il songea que cela pouvait durer toujours (le condamne etait
jeune), il prevint son ministre de la Justice d'avoir a prendre des
mesures4 pour supprimer cette depense. Le ministre consulta le presi-
dent du tribunal, et tous deux convinrent qu'on supprimerait la charge
de geolier. Le prisonnier, invite a se garder seul, ne pouvait manquer de
s'evader, ce qui resoudrait5 la question a la satisfaction de tous.
Le geolier fut donc rendu a sa famille, et un aide de cuisine du palais
resta charge simplement de porter, matin et soir, la nourriture du
coupable. Mais celui-ci ne fit aucune tentative pour reconquerir sa
liberte. Or, un jour, comme on avait neglige de lui fournir ses aliments,
on le vit arriver tranquillement pour les reclamer; et il prit des lors
l'habitude, afin d'eviter une course au cuisinier, de venir aux heures des
repas manger au palais avec les gens de service, dont il devint l'ami.
Apres le dejeuner, il allait faire un tour jusqu'a Monte-Carlo. Il entrait
parfois au Casino risquer cinq francs sur le tapis vert.
Quand il avait gagne, il s'offrait un bon diner dans un hotel en
renom, puis il revenait dans sa prison, dont il fermait avec soin la porte
au-dedans. Il ne decoucha6 pas une seule fois. La situation devenait
difficile, non pour le condamne, mais pour les juges. La Cour se reunit
de nouveau, et il fut decide qu'on inviterait le criminel a sortir des Etats
de Monaco. Lorsqu'on lui signifia cet arret, il repondit simplement:
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"Je vous trouve plaisants. Eh bien! qu'est-ce que je deviendrai, moi? Je
n'ai plus de moyen d'existence. Je n'ai plus de famille. Que voutez-vous
que je fasse? J'etais condamne a mort. Vous ne m'avez pas execute. Je
n'ai rien dit7. Je suis ensuite condamne a la prison perpetuelle et remis
aux mains d'un geolier. Vous m'avez enleve mon gardien. Je n'ai rien dit
encore. Aujourd'hui vous voulez me chasser du pays. Ah! mais non. Je
suis prisonnier, votre prisonnier, juge et condamne par vous.
J'accomplis ma peine fidelement, je reste ici". La Cour supreme fut
atterree8. Le prince eut une colere terrible et ordonna de prendre des
mesures. On se remit a deliberer. Alors, il fut decide qu'on offrirait au
coupable une pension de six cents francs pour aller vivre a l'etranger. Il
accepta. Il a loue un petit enclos, a cinq minutes de l'Etat de son ancien
souverain, et il vit heureux sur sa terre, cultivant quelques legumes et
meprisant les potentats9.
Guy de MAUPASSANT, Sur l'eau.
Примечания:
1. Дискутировали, совещались.
2. = заменить. Ce verbe s'emploie seulement dans la langue des tribunaux.
3. Эта мера (наказания).
4. Принять меры.
5 Verbe resoudre = разрешить, найти решение. --Au passe compose: j'ai resolu
de faire... = j'ai decide de faire. - Au passe simple: je resolus de.
6. Decoucher: ночевать вне дома.
7. Я не протестовал.
8. Был сражен, ошеломлен, потрясен.
9. СИЛЬНЫХ мира сего.
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LE PETIT TRAIN
Autrefois, nous connaissions l'heure en ecoutant siffler le petit train
qui va de Valmondois a Marines et vice versa,
pour transporter les betteraves et quelquefois aussi les gens.
C'etait un evenement que l'arrivee du soir a la gare de Nesles.
Meme quand je n'attendais personne, et pas le moindre colis postal,
j'allais a bicyclette assister au debarquement des voyageurs qui
[venaient de Paris,
le notaire, ou Mademoiselle Durand, la fille du pharmacien,
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qui donne a Pontoise des lecons de musique,
M. de Vigneron qui etait alle a la Bourse et le jeune Henri Delarue
qui rapportait "Le Temps"1 a mon pere.
Quelquefois encore, je voyais, o bonheur, descendre du train
une jolie fille, ma voisine, dont j'etais eperdument amoureux.
Je la saluais d'un air indifferent et je rougissais, et pour me faire
[bien venir 2 d'elle,
je la epassais a toute allure sur ma bicyclette, et le soir, au lieu
[de dormir,
j'exhalais mon amour en vers desesperes et detestables.
Maintenant, les temps ont change, il n'y a plus de jolie voisine
et, d'ailleurs, je n'ecris plus de vers.
Le petit train passe toujours aux memes heures, mais ce n'est plus
[a lui que nous faisons attention.
Ce n'est plus lui qui nous fait dire: "Le petit train a passe depuis
[un moment, on va dejeuner."
Maintenant, c'est sur l'avion de Londres que nous reglons
[nos montres.
Il passe quatre fois par jour, juste au-dessus de mon jardin,
tantot comme un pigeon noir, tantot comme un beau navire d'argent;
suspendu a rien dans le ciel ou il glisse.
Chaque fois, je leve la tete et le regarde. Et Jean-Claude, que
[plus rien n'etonne,
Lui aussi, cependant, leve la tete et dit, a peu pres comme moi
autrefois:
- "Voila l'avion de Londres. On va dejeuner" - ou "on va diner."
Emile HENRIOT, de l'Academie francaise, Le Livre de mon Pere.
Примечания:
1. Название газеты.
2. Чтобы привлечь ее внимание.
3. Я изливал свою любовь... La fleur exhale un parfum = La fleur repand un
parfum. Le poete exhale son amour, ses sentiments = Le poete exprime son amour, ses
sentiments.
1.
УРОК 47
ГРАММАТИКА
I - Наречия места (Les adverbes de lieu)
ici pres, loin devant dedans dessus en haut
la partout derriere dehors dessous en bas
la-bas nulle part en avant au-dedans au-dessus a droite
ca et la ailleurs en arriere au-dehors au-dessous a gauche
y, en и ou (относительное наречие), ou? (вопросительное наречие).
Примечания: (a) devant, derriere могут употребляться как наречия: Passe/
devant, и как предлоги: Passez devant moi.
(б) у, en, ставятся перед глаголом: Bordeaux est une belle ville; nous en venons:
nous y allons, за исключением утвердительной формы повелительного накло-
нения: viens-y; reviens-еn bientot.
//- Наречия времени (Les adverbes de temps)
avant-hier maintenant toujours d'abord enfin hier a present ne...jamais ensuite, puis tout a coup aujourd'hui autrefois souvent encore soudain demain jadis quelquefois tot, tard tout de suite apres-demain naguere parfois bientot deja un jour rarement tantot alors sans cesse aussitot Примечание. - Tantot может повторяться дважды: