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 [предшествует]
 действию придаточного Nous sortons [avant qu'l il [nel pleuve.
 Nous sortirons avant qu'il [nel pleuve.
 Nous sommes sortis avant qu'il ne plut
 Ils sortirent avant qu'il ne plut (книжная речь) Основные союзы: avant que (ne), jusqu'a ce que,
 en attendant que, sans attendre que. 259
 
 II - L'infinitif
 Je travaille avant de sortir. - Je travaille apres etre sorti.
  Если подлежащие главного и придаточного предложений совпадают,
 то предложение, вводимое союзами: apres que, avant que, en attendant que,
 sans attendre que, как правило, заменяется конструкцией: apres, avant de,
 en attendant de, sans attendre de + infinitif.
 III- Le gerondif (Деепричастие)
 Je chante en travaillant (= pendant que je travaille).
 IV- Le participe avec un sujet (- proposition participe)
 Причастие, имеющее собственное подлежащее:
 La nuit venue (quand la nuit fut venue), je suis sorti.
  ПРИМЕЧАНИЕ: Существительное также может обозначать время: je
 travaille la nuit, pendant la nuit.
 JEUNESSE DE FRANCE... ET D'AILLEURS
  Juillet, aout! Ces deux mois-la sont attendus avec impatience par
 toute la jeunesse! Vous devinez pourquoi: c'est la periode des vacances.
 Meme quand on n'est pas riche, on veut voir du pays1. Aussi, bien
 avant que l'ete ne soit la, on fait des projets (m.).
  "Ou iras-tu cette annee? - J'ai envie d'aller camper dans les
 Alpes. - Mais moi aussi... Alors nous partirons ensemble!"
  Une fois la decision prise2, on etablit des itineraires (m.), on
 marque sur les cartes (f.) les emplacements les plus favorables au
 "camping".
  Des qu'arrive le premier jour des vacances, on se met en route;
 sac au dos, jeunes gens et jeunes filles, en troupes joyeuses,
 envahissent les trains ou se lancent a bicyclette sur les routes, vers
 la destination qu'ils ont choisie. Quelle joie de se trouver au grand
 air, apres qu'on a travaille toute l'annee! Bien sur on n'a pas le
 meme confort qu'a l'hotel! Mais, a vingt ans, tout est facile. Si le
 vent arrache les piquets (m.) de la tente, si l'orage eteint le feu de
 camp, eh bien, on en rit!
  D'autres voyagent a travers toute la France ou l'Europe. Les
 "auberges de la jeunesse" les accueillent. Ils y retrouvent des jeunes
 260
 
 de tous les pays, echangent des souvenirs, des photos (f.); chantent, le
 soir, a la veillee, des ch?urs (m), ou des romances (f.) populaires. Et,
 le lendemain, apres avoir remercie le "pere aubergiste", ils reprennent
 leur route vers la prochaine etape.
 Примечания:
 1. = хочется повидать другие места (куда-нибудь поехать).
 2. Plus frequent que: la decision prise, ou la decision etant prise.
 УПРАЖНЕНИЯ
  I) (a) Перепишите 3-й и 4-й абзацы текста до слов: ...ont choisie, заменяя
 глаголы в Present соответствующими формами Passe simple, a глагол в Passe
 compose формой Plus-que-parfait; (б) Замените глаголы в Present соответст-
 вующими формами Passe compose, a глагол в Passe compose формой Plus-que-
 parfait.
  II) Поставьте глаголы в скобках в Passe compose, Passe anterieur, Plus-que-
 parfait, Futur anterieur, в зависимости от смысла фразы. Используйте вспомога-
 тельный глагол avoir.
  Apres que le jour (paraitre), les oiseaux se mirent a chanter. - Apres que le jour
 (paraitre), les oiseaux se mettent a chanter. - Apres que le jour (paraitre), les oiseaux
 se mettront a chanter. - Depuis qu'il (commencer) son enquete, M. Vincent ne cesse
 pas de voyager. - Depuis qu'il (commencer) son enquete, M. Vincent ne cessait pas de
 voyager. - Apres qu'il (commencer) son enquete, M. Vincent ne cessa pas de
 voyager. - Lorsqu'il (commencer) son enquete, M Vincent ne cessera pas de
 voyager. - Des que (achever) mon travail, je vais me promener. - Des que (achever)
 ton travail, tu allais te promener. - Des que (achever) son travail, il ira se
 promener. - Quand le tenor (finir) de chanter, une tempete d'applaudissements
 s'eleva. - Quand le tenor (finir) de chanter, une tempete d'applaudissements
 s'elevera. - Quand le tenor (finir) de chanter, une tempete d'applaudissements
 s'elevait. - Lorsqu'il (terminer) sa correspondance, il fait un peu de lecture. - .
 Lorsque (terminer) leur correspondance, ils faisaient un peu de lecture.
  III) Поставьте глаголы в скобках в нужное время: Pendant que je (etre occupe)
 un ami est venu me voir. - Pendant que M. Vincent (faire) son enquete, sa femme et ses
 enfants restent a Paris. - Pendant que M. Vincent (faire) son enquete, sa femme et ses
 enfants resteront a Paris. - Pendant que M. Vincent (faire) son enquete, sa femme et
 ses enfants resterent a Paris. - Nous n'allons pas dans la montagne tant que (y avoir)
 de la neige. - Vous n'irez pas dans la montagne tant que (y avoir) de la neige. - Les
 nuages emplissent le ciel tandis que nous (se preparer) a sortir. - Les nuages
 emplissaient le ciel tandis que nous (se preparer) a sortir. - Chaque fois que nous
 voulons sortir (pleuvoir). - Chaque fois que nous (vouloir) sortir, il pleuvait.
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  IV) Поставьте глаголы в скобках в Subjonctif present: Attendez-nous jusqu'a ce
 que nous (arriver). - Ne quitte pas ta place avant que le rideau ne (etre baisse). -•
 Pietons, restez sur le trottoir jusqu'a ce que le feu (devenir) rouge. - Ne vous engagez
 pas sur la chaussee sans attendre que l'agent vous le (permettre). - Abritons-nous som
 ce hangar en attendant que la pluie (cesser). - Avant que ne (venir) la fin de l'annee
 scolaire, j'ai encore beaucoup de travail a faire.
  V) Дополните следующие фразы конструкцией avant de + infinitif: ... dejeuner,
 nous allons boire un verre de porto. - Attendez que le rideau soit baisse ... voui
 lever. - Attendez le feu rouge ... vous engager sur la chaussee. - Ne vous engagez pas
 sur la chaussee ... voir le feu rouge. - Tu as encore beaucoup de travail a faire . .
 partir en vacances. - Je viendrai vous rendre visite ... quitter la ville. - Elle a mis un
 peu de poudre et de rouge aux levres ... sortir.
  VI) Перепишите следующие фразы, заменяя союзные придаточные предло-
 жения конструкцией apres + infinitif passe: Apres qu'ils ont vu le jour, les oiseaux
 commencent a chanter. - Apres qu'il eut commence son enquete, M. Vincent ne cessa
 pas de voyager. - Apres que j'aurai fini mon travail, j'irai me promener. - Apres qu'il
 a termine sa correspondance, il fait un peu de lecture. - Apres que nous eumes
 entendu cet excellent tenor, nous rentrames a la maison.
  VII) Перепишите следующие фразы, заменяя союзные придаточные предло-
 жения деепричастием (gerondif): Je viendrai te voir quand je partirai. - Ne lisez pas
 pendant que vous mangez. - Tiens-toi droit pendant que lu marches. - Ne garde pas
 une main dans ta poche quand tu salues quelqu'un. - Lorsque nous visitions le musee
 du Louvre, nous avons rencontre des amis de Montreal. - Quand nous nous sommes
 quittes, nous nous sommes promis de nous revoir.
  VIII) (a) Составьте полные фразы, дополнив следующие придаточные предло-
 жения с абсолютным причастным оборотом главными предложениями: La nuit
 tombee, ... . - Le repas termine - Le concert fini, ... . - Aussitot nos invites
 partis, ...
  (б) В получившихся фразах замените придаточные предложения с абсолютным
 причастным оборотом придаточными предложениями с временным союзом
 (Напр.: (a) Le signal donne, tous les coureurs s'elanceront: (6) Aussitot que le signal
 aura ete donne, tous les coureurs s'elanceront.)
 
 ТЕКСТЫ ДЛЯ ЧТЕНИЯ: УРОКИ 58 - 63
 MARIAGE NORMAND VERS 1870
  La procession se deroulait dans le chemin creux ombrage par les
 grands arbres pousses sur les talus des fermes. Les jeunes maitres
 venaient d'abord, puis les parents, puis les invites, puis les pauvres du
 pays, et les gamins qui tournaient autour du defile, comme des
 mouches, passaient entre les rangs, grimpaient aux branches pour mieux
 voir. Le marie etait un beau gars, Jean Patu, le plus riche fermier du
 pays (...). La mariee, Rosalie Roussel, avait ete fort courtisee1 par tous
 les partis des environs, car on la trouvait avenante, et on la savait bien
 dotee; mais elle avait choisi Patu, peut-etre parce qu'il lui plaisait mieux
 que les autres, mais plutot encore, en Normande reflechie, parce qu'il
 avait plus d'ecus.
  Lorsqu'ils tournerent la grande barriere de la ferme maritale,
 quarante coups de fusil eclaterent sans qu'on vit les tireurs caches dans
 les fosses. A ce brait, une grosse gaiete saisit les hommes qui gigotai-
 ent lourdement en leurs habits de fete; et Patu, quittant sa femme, sauta
 sur un valet qu'il apercevait derriere un arbre, empoigna son arme, et
 lacha lui-meme un coup de feu en gambadant comme un poulain.
  Puis on se remit en route sous les pommiers deja lourds de fruits,
 a travers l'herbe haute, au milieu des veaux qui regardaient de leurs
 gros yeux, se levaient lentement et restaient debout, le mufle tendu vers
 la noce.
  Les hommes redevenaient graves en approchant du repas. Les uns,
 les riches, etaient coiffes de hauts chapeaux de soie luisants, qui
 semblaient depayses en ce lieu; les autres portaient d'anciens couvre-
 chefs a poils longs, qu'on aurait dits en peau de taupe; les plus humbles
 etaient couronnes de casquettes.
  Toutes les femmes avaient des chales laches dans le dos et dont elles
 tenaient les bouts sur leurs bras avec ceremonie. Ils etaient rouges,
 bigarres, flamboyants, ces chales, et leur eclat semblait etonner les
 poules noires sur le fumier, les canards au bord de la mare, et les
 pigeons sur les toits de chaume.
 Guy de MAUPASSANT, Contes de la Becasse.
 263
 
 Примечания ;
  1. Ее вовсю обхаживали, за ней вовсю ухаживали. La racine du mot est la cour:
 la cour de la ferme: la cour du roi; les courtisans font la cour au roi, ils cherchent a lui
 etre agreables; le jeune homme fait la cour a la jeune fille: il voudrait l'epouser, il la
 courtise. Il est courtois avec elle.
  2. Притопывали ногами, приплясывали (familier); danser la gigue; manger un gigot
 (de mouton); de meme plus bas gambadant, tire d'un vieux mot qui veut dire jambe.
 ENLISE!
  Tout a coup le voyageur reconnait, avec une indicible terreur, qu'il est
 engage dans la greve1 mouvante, et qu'il a sous lui le milieu effroyable ou
 l'homme ne peut pas plus marcher que le poisson n'y peut nager. Il jette
 sоn fardeau, s'il en a un; il s'allege comme un navire en detresse; il n'est
 deja plus temps, le sable est au-dessus de ses genoux. Il appelle, il agite
 son chapeau ou son mouchoir, le sable le gagne de plus en plus.
  Si la greve est deserte, si la terre est trop loin, s'il n'y a pas de heros
 dans les environs, c'est fini, il est condamne a l'enlisement. Il est
 condamne a cet epouvantable enterrement, long, infaillible, implacable,
 impossible a retarder ni a hater, qui dure des heures, qui n'en finit pas,
 qui vous prend debout, libre, en pleine sante, qui vous tire par les pieds,
 qui fait rentrer lentement l'homme dans la terre en lui laissant le temps
 de regarder l'horizon, les arbres, les campagnes vertes, les fumees des
 villages dans la plaine, les voiles des navires sur la mer, les oiseaux qui
 volent et chantent, le soleil, le ciel.
  Le miserable essaie de s'asseoir, de se coucher, de ramper; tous les
 mouvements qu'il fait l'enterrent; il se redresse, il enfonce; il se sent
 engloutir; il hurle, implore, crie aux nuees, se tord les bras, desespere.
 Le voila dans le sable jusqu'au ventre; le sable atteint la poitrine: il n'est
 plus qu'un buste. Il eleve les mains, jette des gemissements furieux,
 crispe ses ongles sur la greve, veut se retenir a cette cendre, sanglote
 frenetiquement; le sable monte. Le sable atteint les epaules; le sable
 atteint le cou. La face seule est visible maintenant. La bouche crie, le
 sable l'emplit: silence. Les yeux regardent encore, le sable les ferme:
 nuit. Puis le front decroit, un peu de chevelure frissonne au-dessus du
 sable; une main sort, troue la surface de la greve, remue et s'agite, et
 disparait. Sinistre effacement d'un homme.
 D'apres Victor HUGO, Les Miserables.
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 Примечание:
  1. = Вступил на зыбучие пески, оказался на зыбучих песках. La greve est le
 rivage de sable, ou de petits cailloux (de gravier) au bord de la mer ou d'une riviere
 A Pans, il y avait, au bord de la Seine, une place qui s'appelait place de Greve. Les
 ouvriers qui n'avaient pas de travail s'y reunissaient: ils etaient en greve.
 DANS LA CATHEDRALE DE CHARTRES
  Ce matin, une procession de jeunes filles m'a devance. Il me semble
 que je vois respirer et se mouvoir les statues de la cathedrale. Elles sont
 descendues des murs pour s'agenouiller dans la nef. Quel air de parente
 entre elles et ces enfants! C'est du meme sang. Les sculpteurs de
 Chartres avaient longuement observe les traits et la physionomie de
 leurs contemporains, la contenance1, l'allure de ces simples et belles
 creatures, dont les mouvements aises, modestes, ont tant de style
 naturel! Elles passent, discretes, montrant peu de leur beaute, dans le
 mystere qu'exigent les rites, sans pouvoir neanmoins la cacher toute'
 a l'artiste. Ces sculpteurs ont su la voir, ils l'ont etudiee, comprise,
 aimee. Ils ont copie la douce nature du pays. Ils ont reproduit la grace
 que Dieu a repandue a pleines mains sur les visages des femmes de leur
 temps, comme de celles du notre. Les saintes de pierre qui nous
 racontent leurs douleurs et leurs esperances anciennes, sont de ce coin
 de France, et d'aujourd'hui.
 Auguste RODIN Les Cathedrales de Fiance.
 Примечания:
  1. Манеру держаться, осанку. La contenance d'un verre = la quantite de liquide
 que contient ce verre. La contenance d'une personne = la maniere dont se tient cette
 personne.
 2. Скрыть ее всю. полностью.
 3. Уроженцы, происходят из...
 L АВВА YE BLANCHE
 Le Soir, son ami le Silence
 Et le Jet d'eau discret et fin
 T'accueillent dans l'Abbaye blanche.
 Entre, et respire un temps lointain.
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 Des moines marchent en cadence
 Les bras charges dejeunes fleurs.
 Clootre et priere, orgue et ferveur:
 C'est la veille d'un beau dimanche.
 Marcel ABRAHAM, Routes
 LA PETITE VILLE
 Примечания
  I. Напрягаются (цепляясь). Peiner = avoir de la peine, faire de gros efforts. Les
 maisons sont comme des gens qui grimpent peniblement la pente. - 2. Les sursauts de
 lerrain = неровности почвы Sursauter: sauter brusquement sous l'effet d'une secousse.
 Les paves inegaux de la rue, eclaires inegalement par le soleil, font sursauter la lumiere
 qui se pose sur eux. - 3. Cet enfant a de mauvais penchants = de mauvaise^
 dispositions. Le boucher semble avoir choisi son metier par disposition natuielle, p ¦
 gout du sang.
 La ville douce et monotone
 Est en montee et en vallon,
 Les maisons peinent' tout au long,
 Et l'une a l'autre se cramponne.
 Du soleil verse comme une eau
 Est dans la rue et les ruelles,
 Les durs paves qui etincellent
 Semblent de lumineux sursauts2.
 L'eglise, massive et muette,
 Est sur la place du marche,
 Le vent de l'hiver a penche
 Le beau coq de sa girouette.
 La poste est noire et sans bonheur,
 Personne aupres d'elle ne passe,
 II semble que, petite et basse,
 Elle soit la pour le facteur.
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 La boulangerie est enorme;
 II entre et sort de larges pains,
 Couleur du bois blanc des sapins,
 Et ronds comme des chats qui
 dorment.
 
 Le boucher, que l'on croit mechant
 Pour sa force rouge et tranquille,
 Est comme un ogre dans la ville
 Et son metier semble un penchant3.
 Le libraire a quelques volumes
 Qui vieillissent sur ses rayons,
 II en vend moins que de crayons,
 De cahiers et de porte-plume.
 L'epicerie a un auvent.
 Un banc, un air de bonne chance.
 Elle a sa table et sa balance,
 Ses tiroirs qu'on ouvre souvent.
 Elle est prudente et tresoriere,
 Pleine de soins et d'expedients,
 Les gens y causent en riant,
 Elle se ferme la derniere
 Et quand vient le jour de Noel,
 Toute enduite de neige fraiche,
 Elle est belle comme une creche
 Et devote comme un autel (...).
 A. de NO AILLES, L'Ombre des Jours
 
 UN ACROBATE: LE DANSEUR DE CORDE
  L'immense clameur cessa. Les chevaux de bois qui tournaient
 presque a vide depuis un moment s'arreterent et leurs orgues se turent.
 L'homme venait d'apparaitre a la lucarne. Il adressa des saluts a la
 ronde. Il fut sur la corde1, tenant un balancier. Il partit.
  Au bout de quelques metres, je fermai les yeux pour ne pas voir des
 choses epouvantables (...) Alors, plus torture de ne rien voir, j'ouvris les
 yeux. L'homme etait a mi-chemin. Il avait parcouru tout cela pendant le
 silence de mes yeux fermes. Sous lui, la corde accusait2 un creux
 violent. Est-ce que la cassure n'allait pas se produire?... L'homme
 s'agenouilla sur son fil, fit demi-tour dans cette position, se remit
 debout, et rebroussa' vers le grenier de son depart.
  Le sol, lesfenetres, les toits hurlerent. Ils auraient hurle jusqu'au
 lendemain si l'homme avait attendu jusqu'au lendemain pour disparaitre.
  Il reparut. Il n'avait plus de balancier. Il poussait devant lui une
 brouette.

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